Le droit de la famille est assez général, on y retrouve trois axes majeurs : la définition de la famille et de ses valeurs, l’aspect économique ainsi que le droit des enfants.
La définition de la famille et de ses valeurs décrit la composition d’un couple mais aussi des paramètres de familles recomposées ou monoparentales, la vie en concubinage ou encore l’adoption. Il définit autant les modalités du mariage (conditions requises, liberté, âge …) que du divorce ou du PACS.
On retrouve également un aspect économique comme les notions de patrimoine ou de préparation de sa succession : testament et donation.
Le droit de la famille englobe aussi le droit des enfants, lié à la scolarité, les obligations alimentaires ainsi que l’adoption, l’autorité parentale, la filiation ou la protection juridique des personnes avec mise sous tutelle ou curatelle. Le droit de la famille est vaste mais définit surtout les liens d’alliance ou de descendance.
Le mariage et le PACS sont deux formes d’unions civiles pour les couples de sexes différents ou de même sexe. Ces deux serments lient une personne à l’autre et donnent naissance à des droits et des obligations pour les deux parties.
L’enfant a droit à être protégé, à avoir accès aux soins de santé, à être instruit, à s’exprimer et à penser librement, à avoir un niveau de vie suffisant pour permettre son développement physique, mental, spirituel, moral et social. L’enfant ne doit pas être séparé de ses parents, sauf sur décision judiciaire.
Lorsque survient le décès d’un proche, se pose la question de la succession. Evidente ou parfois source de conflit, elle doit être accompagnée d’un notaire et/ou d’un avocat spécialisé dans le droit de succession.
La mise sous tutelle peut s’appliquer autant aux majeurs qu’aux mineurs. Pour les protéger et pour les aider, ces démarches nécessitent l’appui d’un professionnel, qui conseillera le futur tuteur ou la personne concernée lors de la procédure.